[En cours] Animation RP

Je me dirige vers le labo, ignorant ce qui se passe là-bas.
Je marche quelques minutes, puis je sens une odeur de fumée. Puis, j'arrive sur les lieux, vérifie que le danger n'est plus présent, et entre dans le labo. Il n'y avait plus que le professeur Aurora, et celui qui doit s'appeler, si je m'en souvient bien, Nathaniel. Le professeur m'explique ce qui s'était passé. Et puis, que son ami (Icaryss il me semble) et le jeune homme très bizarre (Lulu, j'en suis sûr), étaient partis ensemble dans la forêt, ce dernier semblait avoir trouvé quelque chose avant de partir. Cela ne m'étonne pas, dès que je l'ai vu, j'ai senti qu'il était très observateur et intelligent. Et je connais les gens comme ça, et ça m'étonnerait qu'il accepte qu'Icaryss le suive. Je m'assois alors sur une chaise, en disant que j'attendais quelqu'un qui ne viendrait sûrement pas avant la tombée de la nuit. Quelques minutes après, j'entends quelque chose dehors. Cela ne peut pas être Cassandre, c'est trop tôt. Si c'est celui qui a attaqué le labo, je ne ferai pas le poid, même avec les deux autres qui sont ici. Il faut savoir qui c'est, sans prendre de risque, et avec moi, c'est mal parti. Je regarde alors le professeur et Nathaniel, attendant qu'ils trouvent quelque chose.

Je relève la tête.  Il y a eu un bruit dehors.
J'observe le labo et vois que quelqu'un d'autre a entendu. Visiblement, il n'a pas envie d'aller voir.
C'est encore à moi de me coltiner les corvées,  tsssk.
Je me dirige à pas de loup vers la porte, et l'ouvre d'un coup! Mais il n'y a rien dehors.
Perplexe, je fais quelques pas en avant... et quelqu'un me plaqua au sol. Je me tetanisais et fermais forfort les yeux, attendant ma triste fin arriver. Tout le monde me regrettera! Le poids disparu soudain de mon dos, éjecté par mon Artamiel. Je me levais et m'eloignais précipitamment. 
Je demandais à Artamiel d'attraper (gotta catch'em all!) mon agresseur.  Il le prit entre ses pattes et nous rentrames dans le labo. Je failli lâcher un commentaire très pertinent sur le temps de réaction de mes collègues,  mais me retint au dernier moment,  préférant observer mon agresseur.